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Contrairement à d’autres pays comme la Belgique par exemple , la Suisse, malgré ses différences linguistiques, culturelles et sociales ne sépare pas . La Suisse tient à son émiettement ! 
M. Thevoz fait à nouveau rire l’assemblée en disant que la Suisse est comme une meringue . Quand on la met en bouche il n’y a plus rien !
En Suisse, on peut avoir des relations cordiales avec une autre personnes dont on de connaît rien !
Il y a une sorte de code de discrétion , une inexistance identitaire ... qui devient comme un modèle.
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Il est difficile de trouver un dénominateur commun à l’art suisse (un oxymore souligne M Thevoz) . C’est un art qui s’offre à de multiples interprétations et qui n’est pas caractérisé du pont de vue identitaire .
De manière générale, les peintres ne s’expriment  pas sur leurs œuvres ambivalentes. M Thévoz est d’avis que les artistes ne sont pas « intellectuellement à la hauteur de ce qu’ils produisent ».
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Il nous donne l’exemple d’une approche atypique originale, singulière, révolutionnaire et provocatrice du peintre allemand  H.Holbein « Les Ambassadeurs ».
Il nous explique qu’il s’agit d’une anamorphose (projection oblique) de la tête de mort sur une peinture qui représente des Ambassadeurs du Vatican et de France au 16e siècle.
Cette tête de mort est une notion d’humilité 
Nous ne sommes que poussière . C’est une grande leçon médiévale selon les historiens de l’Art. Mais M. Thévoz pense le contraire. Pour lui ce n’est qu’une image et la manière dont on va exposer le tableau change sa perception (par exemple une vision oblique et non frontale)
Ce même artiste a également représenté un christ mort entrain de pourrir et même de se décomposer .On raconte que Dostoïevski qui admirait le peintre, a tenu à voir ce tableau au Kunstmuseum de Bâle et qu’il a dit que ce tableau pouvait lui faire perdre la foi.

Contrairement à d’autres pays comme la Belgique par exemple , la Suisse, malgré ses différences linguistiques, culturelles et sociales ne sépare pas . La Suisse tient à son émiettement ! M. Thevoz fait à nouveau rire l’assemblée en disant que la Suisse est comme une meringue . Quand on la met en bouche il n’y a plus rien ! En Suisse, on peut avoir des relations cordiales avec une autre personnes dont on de connaît rien ! Il y a une sorte de code de discrétion , une inexistance identitaire ... qui devient comme un modèle. . Il est difficile de trouver un dénominateur commun à l’art suisse (un oxymore souligne M Thevoz) . C’est un art qui s’offre à de multiples interprétations et qui n’est pas caractérisé du pont de vue identitaire . De manière générale, les peintres ne s’expriment pas sur leurs œuvres ambivalentes. M Thévoz est d’avis que les artistes ne sont pas « intellectuellement à la hauteur de ce qu’ils produisent ». . Il nous donne l’exemple d’une approche atypique originale, singulière, révolutionnaire et provocatrice du peintre allemand H.Holbein « Les Ambassadeurs ». Il nous explique qu’il s’agit d’une anamorphose (projection oblique) de la tête de mort sur une peinture qui représente des Ambassadeurs du Vatican et de France au 16e siècle. Cette tête de mort est une notion d’humilité Nous ne sommes que poussière . C’est une grande leçon médiévale selon les historiens de l’Art. Mais M. Thévoz pense le contraire. Pour lui ce n’est qu’une image et la manière dont on va exposer le tableau change sa perception (par exemple une vision oblique et non frontale) Ce même artiste a également représenté un christ mort entrain de pourrir et même de se décomposer .On raconte que Dostoïevski qui admirait le peintre, a tenu à voir ce tableau au Kunstmuseum de Bâle et qu’il a dit que ce tableau pouvait lui faire perdre la foi.

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